Le moteur du capitalisme est l’accroissement du capital et table sur une croissance sans limites (donc incompatible avec les limites environnementales terrestres). Le libéralisme a trait au libre-échange des biens et des services, réclame toujours moins d’intervention des Etats et pourrait même ne pas dépendre des banques pour échanger (ex.cryptomonnaie) ; il peut exister sans l’accumulation de capital, mais contribue également à l’accroissement de la consommation.

Ils ont un autre point commun, ils se foutent de développer des “communs”, à savoir la propriété partagée de ressources et la gestion collective de celles-ci au travers d’une structure de gouvernance. Leur développement constitue pourtant une alternative économique et politique pour le 21° siècle bénéfique pour tous, en s’opposant à plusieurs tendances majeures de notre époque : la destruction massive du vivant, l’extension de l’appropriation privée des biens de nos sociétés et leur marchandisation croissante.